Lake Champlain: An Important Fishery for the Abenaki
Native peoples have been fishing the waters of the Champlain Valley for more than 10,000 years. The
first evidence of humans here dates from a time when the salty Champlain Sea connected the region to the Atlantic Ocean. The Abenaki homeland includes the Champlain Valley where they settled on river shorelines and near deltas where food was plentiful. They also
ventured onto the deep waters of the Lake in canoes.
Abenakis relied on Lake Champlain's fisheries for
sustenance. American eels, lake sturgeon and landlocked
Atlantic salmon-fish that depend on rivers that are
not dammed-were especially important to these native
people.Today, these species are much less plentiful than
before European settlers came to the region.
Historically, eels played an especially important role in
sustaining Abenaki communities through the winter
months, as they smoked the meat to preserve it. Since
many Abenaki bands relied on cultivated crops such as
corn, beans, and squash, fish remains were also used
as a fertilizer, wasting as little of the animal
Other fish that were not eaten immediately were smoked
for later use. Today, fish caught by Abenakis are usually
frozen rather than smoked.
Until the early 20th century, specialized fish
traps
complemented pronged spears, natural-fiber nets
and hooks originally made from bone. Except for a
few historic cultural practices, modern-day Abenaki
fishing resembles that of their European-American
neighbors. Ice fishing remains a common method for
harvesting fish.
Le lac Champlain : Une
importante source de nourriture
pour les Abénakis
Les amérindiens péchent dans les eaux du lac Champlain
depuis plus de 10 000 ans. Le premier signe de présence
humaine dans la région date du temps où les eaux salées
du lac Champlain reliaient la région à l'océan atlantique.
Les Abénakis ont fait de la vallée de Champlain leur
patrie ainsi que les rives et deltas du lac où la nourriture
y était abondante. Ils s'aventuraient souvent sur les eaux
profondes du lac en canoë.
Les Abénakis comptaient sur cette pêche pour leur
subsistance. Anguilles, esturgeons et saumons atlantiques
-espèces qui dépendent de rivières sans barrages-
figuraient couramment dans leurs festins. Aujourd'hui ces
espèces sont beaucoup moins nombreuses qu'à l'époque
de l'arrivée des colons européens dans la région.
Historiquement, les anguilles jouaient un rôle
d'importance dans leur subsistance pendant les mois
d'hiver. Durant cette saison, ils fumaient la chair afin de
la préserver pour les semaines à venir. Leur nourriture
dépendait aussi
de la culture de mais, des haricots et
de la courge, ils utilisaient les restes de poisson comme
fertilisants ; ne gaspillant rien de l'animal péché.
Aujourd'hui, les poissons attrapés par les Abénakis sont
plutot congelés que fumés.
Jusqu'au début du 20e siècle,
poissons, lances à fourches, filets de fibres naturelles et
hameçons taillés dans l'os pour attraper le poisson. A
l'exception de quelques pratiques de pêche traditionnelle,
la pêche Abénakis ressemble maintenant à celle de leurs
voisins américains. La pêche sur glace demeure une
méthode courante pour attraper du poisson.
Photo Captions, top to bottom:
Abenaka Fish Camp, Metcalfe Island, c. 1900. /
Camp de Pecheas Abénakis, Metcalfe Island, vers 1900
The Abenaki used spears like this one to capture fish/
Les Abénakis utilisaient des lances comme celle-di pour
attraper le poisson.
Woven baskets were used to hold fish that were caught. /
Des paniers tressés étaient utilisés pour contenir les poissons
capams
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